Page:Dickens - L’Abîme, 1918.djvu/219

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Lorsqu’on arriva au coin de la seconde rue à droite Vendale se pencha à son oreille et lui parla longuement tout bas. Lorsqu’ils eurent franchi le coin sinistre, Vendale, pressant le bras de Marguerite sous le sien, lui dit :

— Pour des raisons que je vous ferai connaître plus tard, ne vous retournez pas, ma chérie.

Mais lui, il tourna la tête.

Il vit la litière et ses porteurs qui passaient sous l’arc triomphal.

Et il continua de marcher avec Marguerite et tout le cortège de la noce, — descendant vers la riante vallée.

FIN.