Page:Dickens - La Petite Dorrit - Tome 1.djvu/425

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acclamations de ces bonnes gens, peut-être était-ce auparavant. Réchauffez cette pauvre petite main, mademoiselle Dorrit, elle est bien froide. Ne la laissez pas tomber comme cela.

— Merci, monsieur, répondit Mlle Fanny, fondant en larmes, je crois que je sais ce que j’ai à faire, si vous voulez bien me le permettre… Ma chère, ouvre les yeux, je t’en prie !… Amy, Amy, si tu savais comme je suis vexée et honteuse ! Reviens à toi, ma chérie !… Mais pourquoi ne partons-nous pas ?… Papa, je vous en supplie, dites-leur donc de partir ! »

Le domestique, passant entre Arthur et la portière, avec un permettez, monsieur, aigre-doux, releva le marchepied et les voilà partis.



fin du premier volume.