Page:Diderot - Œuvres complètes, éd. Assézat, VII.djvu/529

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MADAME BEVERLEY.

Mon ami, vous défaillez… Vous tremblez… mon ami !… Comme vos yeux sont fixes !… Mais vous êtes innocent… n’est-ce pas ?… Si Leuson n’est plus, ce n’est pas vous…


Scène X.

BEVERLEY, JARVIS, MADAME BEVERLEY,
STUKELY, BATES, DAUSON.
STUKELY.

Qui est-ce qui a appelé ici Dauson ?

BATES.

C’est moi… Nous avons là un témoin que vous ne soupçonnez guère… Là dehors…

STUKELY.

Quel témoin ?

BATES.

On ne peut un meilleur, voyez.


Scène XI.

BEVERLEY, JARVIS, MADAME BEVERLEY,
STUKELY, BATES, DAUSON, LEUSON, CHARLOTTE.
STUKELY.

Leuson ! Ah, scélérats ! traîtres ! infâmes ! vilains !

MADAME BEVERLEY.

C’est Leuson ! c’est lui ! quel bonheur !

CHARLOTTE.

C’est son ombre peut-être. Eh bien, monsieur Stukely, comment vous trouvez-vous de l’apparition ?

JARVIS.

Quelle énigme est ceci ?