Page:Dieulafoy - La Perse, la Chaldée et la Susiane.djvu/363

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de ses crimes, il lit amener en sa présence les femmes et les tilles (In seïd et les livra à son escorte. Tout sauvages qu’ils étaient, les soldats frémirent à la pensée de souiller l’andéroun d’un descendant du Prophète. Ils entrèrent dans une conspiration fomentée par les parents des victimes et égorgèrent le tyran pendant que, penché à sa fenêtre, il considérait les corps des malheureux suppliciés. »

SABRE ET POIGNARDl’ERSANS.