Page:Dodge Stahl - Les Patins d argent.djvu/137

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petit frère et sa petite sœur, dansait dans l’air devant ses yeux.

« Je les amènerai certainement en Hollande, se disait-il, non pas l’hiver, mais l’été. Comme cela les amusera, les petits ! Et je ferai une tirelire pour eux d’ici là, et je leur achèterai tout, tout ce qu’ils voudront, des bateaux de deux pieds, des moulins grands comme eux, et le reste… »