Page:Dodge Stahl - Les Patins d argent.djvu/229

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la cabane. Gretel n’osant regarder personne, se glissa, sans bruit, à côté de sa mère.

Tout était tranquille dans la chambre. La petite fille pouvait entendre la respiration du vieux docteur et les étincelles tombant dans les cendres. La main de la mère était glacée, mais une tache brûlante rougissait sur sa joue ; ses yeux ressemblaient à ceux d’une biche : si brillants, si tristes, si anxieux.