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Page:Dodge Stahl - Les Patins d argent.djvu/232

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CHAPITRE XV


LE RÉVEIL – UNE NOUVELLE ALARME


Il se fit enfin un mouvement sur le lit, très-léger, mais suffisant pour les faire tous tressaillir. Le docteur se pencha vivement sur le malade.

Encore un mouvement : la large main de Brinker s’agita, puis se porta lentement vers son front.

Elle y palpa les bandages, non pas d’un mouvement machinal, comme il eût pu le faire la veille, mais comme l’eût fait un autre malade qui aurait voulu se rendre compte de leur présence autour de sa tête. Le docteur lui-même