Aller au contenu

Page:Dodge Stahl - Les Patins d argent.djvu/289

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Dormez, Raff, lui dit-elle, vous semblez épuisé. Vous saurez demain matin, j’en suis sûr, ce qu’il y a de plus sage à faire pour retrouver le maître de la montre. – Ah ! mademoiselle Gretel, vous voici à la fin. Ce n’est pas malheureux. »

C’est pendant ce sommeil de Raff que la marraine-fée était venue visiter la chaumière, et que grâce à elle les mille florins étaient encore une fois en sûreté dans le grand coffre. Raff n’avait plus besoin de rien. Dame Brinker et ses enfants prirent enfin ce soir-là leur part d’un véritable festin.