Page:Doff - Jours de famine et de détresse, 1943.djvu/124

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riches eux-mêmes ne savaient pas ce que c’était.

— Nous ne le savons pas non plus, conclut mon frère Hein.

Il sonnait dix heures chez les voisins : les petits sabots étaient consumés ; le froid redevenait intense ; excepté les tout petits, aucun de nous ne parvenait à s’endormir, et la nuit était encore si longue !