Tenez, mon oncle, je crois que vous vous laissez mener par le bout du nez.
Moi, par le bout du nez !… Moi, Thomas Lefèvre, ah ! non, non, mon neveu… mais… tiens… adieu… 57, 57.
Mon oncle, vous êtes une poule mouillée.
Une poule… oh ! non… Un coq je n’dis pas oh ! oh !
Sur quelque point par bonté d’âme
Si j’veux bien céder que’que fois
Pour faire plasir à ma femme
Je fais semblant d’suivre ses lois
Et si par fois je fais ses droits
Si je suis toutes ses fantaisies
Si je flan’ toutes ses manies
Si je veux combler tous ses vœux
Passé ça… j’fais c’que j’veux (bis.)
Mais tu me r’tardes… adieu Guillaume, 57, 57.
Voyons, voyons, vieux, de l’énergie.
J’en ai, j’en ai, mais… 57, 57.
Allons, mon oncle, laissez de côté vos diables de 57 et venez avec votre neveu au coin… là… en face… nous allons boire un verre.