mes charges ; quant à vous, Mr. Mélange, vous me ferez une facture générale et je vous paierai toutes les dépenses faites par mes deux farceurs.
Ah ! Mr. Bois-sec, je suis content, très content, je n’ai rien à vous refuser et certainement… que… (aux hommes de Police). Allons vous autres, entrons chez moi, je vais vous régaler.
Scène 10ème.
Eh bien, mes gaillards, hein ! Comment vous trouvez vous et surtout comment trouvez vous le trésor de l’oncle de Perse !
Comment, Patron, c’était…
Eh ! parbleu, oui, c’est moi qui ai tout conduit, le facteur, la lettre, le trésor, cette maison qui appartient à mon ami Renard, j’ai tout fait, on vous a suivis, mais j’ai voulu vous laisser aller jusqu’au bout, — bien persuadé que je vous ramènerai (à Lagouèpe.) Comment, imbécille, tu ne devinais pas que tu n’as jamais eu d’oncle en pays étranger et surtout en Perse ? tu n’en as qu’un, tu le connais cependant, Jérôme Cornouillac, sabotier à Versailles ! Mais le vin t’avait ôté toute mémoire.
Tiens ! tiens ! tiens !… Et toi, Camerluche ?
Moi ! Moi ! J’dis qu’nous avons l’plus grand meilleur de tous les patrons passés, présents et à venir !