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Page:Dorat - Les Baisers, 1770.djvu/110

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LA FAUSSE PUDEUR


 
Pourquoi donc, matrônes austères,
Vous alarmer de mes accens ?
Vous, jeunes filles trop sévères,
Pourquoi redoutez-vous mes chants ?
Ai-je peint les enlèvemens,
Des passions les noirs ravages,