Page:Dorat - Les Baisers, 1770.djvu/134

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L’IMMORTALITÉ


 
De quels charmes tu m’environnes !
Que je sens près de toi d’amoureuses fureurs !
Comme ils sont parfumés les baisers que tu donnes !
En les cueillant, je crois cueillir des fleurs,
Telles que les vergers d’Hymette
En fournissent dès le matin