Page:Dorchain - La Jeunesse pensive, 1883.djvu/132

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I

À l’heure où sur la mer le soir silencieux
          Efface les lointaines voiles,
Où, lente, se déploie, en marche dans les cieux,
          L’armée immense des étoiles,

Ne songes-tu jamais que ce clair firmament,
          Comme la mer, a ses désastres ?
Ainsi que des vaisseaux sombrent, à tout moment
          S’éteignent et meurent des astre