Page:Dorgelès - Le Cabaret de la belle femme.djvu/43

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Bien des mois ont coulé sur ma modeste idylle, puis des années… Et pourtant, certains soirs, à la campagne, lorsque j’entends sonner dix heures, il m’arrive encore de lever les yeux vers le Chariot de David, et, cherchant une étoile que je ne retrouve plus, je pense en souriant à la bergère de Concevreux, une bergère sans houlette qui ne gardait qu’un troupeau d’oies.