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Page:Dornis - Essai sur Leconte de Lisle, 1909.djvu/298

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ESSAI SUR LECONTE DE LISLE

qu’il croit avoir du Néant, Leconte de Lisle voit, lui aussi, persister une clarté. Il ne peut pas étouffer en soi les mouvements d’un spiritualisme toujours renaissant. S’il doute, s’il se révolte, s’il nie, il ne lui est pas possible, cependant, de cesser d’espérer avec fièvre, de chercher avec trouble.