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GENEVIEVE.


» article, dont vraisemblablement le bon vieillard vous donne l’absolution comme il peut… je ne vous ferai plus de question à ce sujet, et je vous en donnerai même aussi mon absolution… qui vaudra mieux que la sienne… mais lorsque vous aurez fait la pénitence que je vous impose, et qui n’est pas rude ; c’est de m’embrasser… Venez, ma charmante pécheresse, et je vais vous absoudre ».

Alors il se leva vivement, m’embrassa malgré moi, sans que je pusse m’en défendre, tant j’étais abasourdie de ses discours. Il me dit que nous allions d’abord déjeûner avec des confitures et de bon chocolat qu’il m’avait préparé, et qu’ensuite nous procéderions à mon absolution générale, avec la permission même de continuer mon déguisement ; qu’il ne me demanderait qu’une chose, c’était d’être discrète à son égard comme je l’étais à celui du