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Page:Dostoïevski - L’Éternel Mari, trad. Nina Halpérine-Kaminsky, 1896.djvu/213

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— Merci d’être venu nous voir ; nous en serons toujours enchantés, tous, dit avec insistance le vieux Zakhlébinine.

— Oh ! oui, nous sommes si enchantés…, reprit la mère, chaleureusement.

— Vous reviendrez, Alexis Ivanovitch, vous reviendrez ! criaient les jeunes filles du haut du perron, tandis qu’il montait en voiture avec Pavel Pavlovitch.

Et une petite voix ajoutait, plus bas que les autres :

— Oh oui ! revenez ! cher, cher Alexis Ivanovitch !

— Cela, c’est la petite rousse, songea Veltchaninov.