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Page:Dostoïevski - L’Éternel Mari, trad. Nina Halpérine-Kaminsky, 1896.djvu/93

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pas le regarder. Il n’avait qu’un désir, partir au plus vite. « Tout cela, ce n’est pas ma faute, pensait-il, il fallait bien que cela arrivât. » Ils descendirent. Maria Sysoevna embrassa Lisa ; et c’est alors seulement, quand déjà elle était dans la voiture, que Lisa leva les yeux sur son père, joignit les mains et poussa un cri. Encore un moment, et elle se serait jetée hors de la voiture pour courir à lui, mais déjà les chevaux étaient en marche.