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Page:Dostoïevski - Le Rêve de l’oncle, trad. Kaminsky, 1895.djvu/241

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de quelque chose. Aphana-assi Mat-vé-eïtch ? Mais oui, celui qui est à la campagne ? Charmant ! Cha-armant ! Je suis bien aise… Mon ami, s’écrie le prince à Mozgliakov, mais c’est lui qui… qui… comment cela ? Le mari dehors et la femme à… Mais oui, dans une certaine ville… et la femme…

— Ah ! prince, c’est probablement : le Mari dehors et la femme à Tvor, le vaudeville qu’une troupe de passage a joué chez nous l’an dernier.

— Mais oui, à Tvor, et moi qui oubli-ie tou-toujours. Charmant ! Cha-armant ! Alors, c’est vous ? Je suis bien aise de faire votre co-onnaissance ! dit le prince sans se lever de son fauteuil et en tendant la main à Aphanassi Matveïtch. Eh bien, comment allez-vous ?

— Hum !

— Il se porte bien, il se porte bien ! dit vivement Maria Alexandrovna.

— Mais oui, cela se voit… Et vous êtes toujours à la cam-campagne ? Eh bien ! j’en