Page:Driant, Histoire d’une famille de soldats 2, 1899.djvu/378

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de sabre avec les cavaliers de Mensdorff et s’en tirait sans une égratignure ; mais le soir, après le terrible orage qui suspendit la lutte sur tout le champ de bataille, il fut témoin d’un de ces événements qui peuvent transformer une victoire en défaite et qui déconcertent les plus judicieuses prévisions.

Il fut enveloppé dans la panique qui marqua la fin de la bataille et qui emporta, dans un tourbillon effaré, cavaliers, artilleurs et conducteurs de voitures. Quelques


Sire, nous vous nommons caporal de zouaves.