Page:Driant - L’invasion noire 1-Mobilisation africaine,1913.djvu/167

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veur, il s'était précipité vers le précieux fardeau échappé aux ravisseurs.

Il gisait sans mouvement au milieu des herbes, ficelé comme une charge de porteur zanzibarite.

L’officier tira son couteau, trancha fébrilement les liens qui maintenaient autour de sa tête un haïk, trois fois enroulé, et dégagea le visage.

Elle devait étouffer là-dessous!...