Page:Drouot – Eurydice deux fois perdue, 1921.djvu/112

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Il y a le moment où la douleur m’écarte les côtes, tâche à m’arracher le cœur, et, n’y parvenant pas, le broie.


Ici s’arrête le manuscrit de Paul Drouot. Nous publions des notes et fragments trouvés dans ses papiers, d’un travail moins achevé, mais également destinés à prendre place dans la rédaction définitive.