Il faut le tenir à la main soigneusement. Que l’on cause avec un millionnaire ou avec un besoigneux, il faut lui rappeler à chaque instant qui vous êtes et qui il est.
Une autre cause rend le Juif peu propre aux relations où l’on se propose un autre but que l’intérêt : c’est la monotonie du type. Tandis que la race aryenne comporte une variété infinie d’organisations et de tempéraments, le Juif, lui, ressemble toujours à un autre Juif ; il n’a point de facultés, mais une aptitude unique, qui s’applique à tout : la Thebouna, cette subtilité pratique si vantée par les Moschlim, ce don merveilleux et inanalysable qui est le même chez l’homme politique que chez le courtier et qui le sert admirablement dans la vie.
En art, les Juifs n’ont créé aucune figure originale, puissante ou touchante, aucune œuvre maîtresse ; ils n’admettent que ce qui se vend ; ils font le sublime au besoin, le faux sublime bien entendu, mais ils préfèrent le bas, ce qui leur permet à la fois de s’enrichir en flattant les appétits grossiers de la multitude, et de servir leur cause en tournant en risée les enthousiasmes, les souvenirs pieux, les traditions augustes des peuples aux dépens de qui ils vivent.
S’agit-il de déchaîner avec une musique de carrefour la bande hurlante des Olodoches ? Strauss, le chef d’orchestre, lève son archet. Veut-on tourner l’armée en ridicule, au moment où une guerre terrible se prépare ? voilà Ludovic Halévy qui invente le général Boum. Est-il opportun pour nos ennemis que tout ce qu’un peuple respecte : l’héroïsme, l’amour honnête, les chefs-d’œuvre immortels, soient raillés à outrance ? Offenbach, l’agent prussien, est tout prêt. Est-il utile de déshonorer le théâtre de Racine et de Molière, de mettre la