race avide et basse apparaît vite dans ces doigts crochus, dans ces doigts toujours agités par la convoitise toujours contractés pour le rapt.
Le Juif allemand n’a rien de ces allures. Les yeux, chassieux, ne regardent point ; le teint est jaunâtre, les cheveux couleur de colle de poisson ; la barbe, presque toujours d’un roussâtre indéfinissable, est parfois noire, mais d’un noir vert, désagréable, et qui a des reflets de redingote déteinte. C’est le type de l’ancien marchand d’hommes, de l’usurier de bas étage, du cabaretier borgne. La Fortune, je l’ai dit, ne les change pas en les touchant de sa baguette. Ceux-là ont été décrits par un coreligionnaire appartenant à une famille bien cotée et presque considérable dans la Juiverie, M. Cerfbeer de Medelsheim.
L’auteur porte ensuite contre les rabbins des accusations que nous ne reproduisons pas : car jamais un écrivain chrétien n’attaque un prêtre, à quelque religion qu’il appartienne ; il laisse cela aux écrivains de la presse juive, aux Mayer, aux Dreyfus. Parmi les Juifs allemands, les connaisseurs distinguent encore une variété : le Juif polonais, à gros nez, et cheveux crépus.
A ses entreprises de finance le Juif du Midi mêle un grain de poésie ; il vous prend votre bourse, — c’est la race qui veut cela, — mais à l’aide de conceptions qui ne manquent pas d’une certaine grandeur. Comme Mirés, comme Millaud, comme Péreire, il se frotte vo-