Jusqu’au XIVe siècle, comme le reconnaît M. Albert Kohn, les Juifs sont 800,000 en France, ils ne rendent aucun service, et, à force d’intrigues et d’usures, obligent les propriétaires du sol à les chasser. A partir de cette époque, la prospérité de la France prend un développement magnifique. Ils rentrent derrière la Franc-Maçonnerie, en 1790, et deviennent les maîtres absolus d’un pays qu’ils ont détaché peu à peu, avec une astuce prodigieuse, de toutes les traditions qui faisaient sa grandeur et sa force.
Le côté frappant de cette situation c’est l’impuissance absolue du Juif à faire quoi que ce soit d’un pouvoir qu’il a conquis avec une incontestable habileté sur des êtres faciles à tromper par des mots. Avec le Sémite, tout part de Bourse, tout revient à la Bourse, toute action se résume en une spéculation.
« Fondez des sociétés financières ! » Telle est la première maxime politique du Juif « Crucifiez de nouveau le Christ ! Persécutez ceux qui l’adorent ! » Telle est la seconde maxime.
Il est clair qu’une telle conception, appliquée à un grand État chrétien, ne peut aboutir qu’à la situation où nous sommes, à ce chaos que le Talmud (traité Hagguiyah) appelle le Tohou-va-bohou...
Notre malheureux pays aurait-il une chance d’échapper à cet effondrement ?
Oui, sans doute, si les opprimes s’entendaient pour réagir contre le Juif qui est leur ennemi commun[1].
- ↑ On n’accusera certes pas Sébastien Mercier d’être un représentant des idées rétrogrades. Dès le Directoire, cependant, cet écrivain à l’esprit si curieux, aux aperçus parfois si justes, avait prévu que le Sémitisme deviendrait un danger pour l’Europe qui serait obligée