Page:Drumont - La France juive, tome second, 3eme édition, 1886.djvu/429

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

président du Conseil général du département, qu’il quitta pour Annecy, disait de lui en pleine séance : « On ne peut se faire une idée de l’état de malpropreté et de puanteur dans lequel le préfet Levaillant a laissé notre préfecture[1]. » La pauvre Sœur, coupable d’aimer la propreté dans un département où le préfet était sale par goût, fut frappée de destitution. Si mes souvenirs sont exacts, quelques braves femmes qui avaient voulu manifester en sa faveur furent même punies de la prison[2].

Au prétoire nous retrouvons le Juif fidèle à sa haine pour le Christ. Nous l’avons vu jadis s’efforcer de se débarrasser du serment More judaico, protester qu’il voulait n’être distingué par rien de ses frères les Français, qu’il tenait à entrer dans la collectivité ; dès qu’il y est c’est pour faire scandale.

Un Juif, nommé Moyse[3], refuse une première fois de prêter serment devant le Christ. Un autre Juif, ancien con-

  1. Elle est absolument vraie au point de vue physique comme au point de vue moral la loi que Maxime Du Camp formulait en cet termes dans la Revue Des Deux-Mondes, du 1er avril 1861 :

    « On pourrait, sans craindre de se tromper, formuler cet axiome : « Plus les hommes par leur religion se rapprochent du Judaïsme, plus ils sont sales ; plus ils s’en éloignent, plus ils sont propres. »

    L’état de puanteur, l’infection des rues de la capitale depuis que Paris est devenu une ville juive sont des preuves éclatantes de cette vérité.

  2. Isaïe Levaillant a reçu de l’avancement, il a été nommé directeur de la Sûreté générale, poste important au point de vue de l’espionnage, et que les Juifs tiennent à voir occupé par l’un d’autre eux. Schnerb, nous l’avons vu, avait précédé là Isaïe Levaillant.
  3. C’est chez ce Moyse, conseiller général de la Seine et qui a été candidat au Sénat, qu’habite Louise Michel. Les Juifs tiennent à avoir sous la main ceux qui peuvent jouer un rôle dans une révolution.