Page:Drumont - La France juive, tome second, 3eme édition, 1886.djvu/451

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

autres défauts ils ajoutent celui d’être antipathiques à notre race ; ils ne sont pas nés en terre gauloise, en terre sainte ; ils ont été confus là-bas. Ils nous sont venus de l’Est, avec l’invasion, ils l’ont complétée et ils la continuent.

Partout, vous retrouvez le Juif essayant de détruire directement ou indirectement notre religion. Le divorce est d’institution juive, le Juif Naquet fait passer le divorce dans nos lois. Nos belles cérémonies funèbres irritent le Juif, c’est un ingénieur du nom de Salomon qui se met à la tête d’une société pour la crémation qu’il voudrait rendre obligatoire.

C’est un Juif, Camille Sée, qui organise les lycées de jeunes filles, de façon à en exclure tout enseignement religieux.

Des Français, même peu zélés dans leur foi, disent à cet homme : « Voyons, vous allez donner à ces jeunes filles une culture raffinée, une éducation bien supérieure à leur position dans le monde, leur apprendre la musique, les arts d’agrément, vous savez combien on a de la peine à vivre en courant le cachet. Placées entre le déshonneur et la pauvreté qui leur semblera plus rude qu’à des natures moins cultivées, ces enfants d’employés, de vieux soldats, de bourgeois auront bien des tentations. Pourquoi ne pas leur mettre au cœur une de ces croyances qui soutiennent dans la vie, un idéal qui élève, qui console, qui empêche les défaillances ? »

L’autre sourit de cet air impertinent et fat qui a fini par dégoûter jusqu’aux électeurs de Saint-Denis. Après boire, il avoue sa pensée secrète. À ces banquiers, à ces enrichis d’hier, à ces Juifs frottés de civilisation ne faut-il pas des compagnes de la main gauche qui puissent les distraire, les Klipoth (filles non juives), qui soient en état de bercer