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Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/35

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En ce qui les concerne, ils n’ont su faire preuve, devant de si ignominieuses attaques, ni d’énergie, ni de volonté, ni d’initiative ; ils ont apparu un peu comme ces mandarins militaires chinois dont le costume est orné d’emblèmes terrifiants, mais qui, dans l’Empire du Milieu, ont une place tout à fait effacée derrière les mandarins administratifs ou les lettrés qui savent les 5.000 mots dont est composé le dictionnaire chinois.

Ces chefs, qui n’ont rien voulu sacrifier des avantages que leur procurait leur rang dans la hiérarchie, n’ont usé de l’autorité que leur conférait leur grade que pour menacer de toutes les rigueurs les jeunes officiers qui frémissaient sous tant d’outrages et qui trouvaient raide tout de même de se laisser insulter sans répit et sans trêve par les stipendiés d’Israël.

C’est donc enregistrer purement et simplement un fait social que de constater que l’armée française a subi en pleine paix une diminution morale plus considérable que celle que lui aurait causée une défaite glorieuse ; c’est elle qui sort humiliée de cette campagne.

Il nous reste à examiner comment cette campagne a été organisée, et la signification exacte de l’attitude nettement hostile à la France que la Juiverie a prise dans cette circonstance…