Aller au contenu

Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/47

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

il, à ne descendre qu’à une certaine heure.

J’ai toujours été désireux de m’instruire et, en revenant de mon journal, j’échangeais quelques idées avec lui. Devant cette place tragique je pensais que ce n’était peut-être pas la peine d’avoir coupé le cou au descendant de quarante rois pour être gouvernés par les Rothschild qui occupent, à quelques pas de là, l’hôtel de l’Infantado, et pour s’entendre dire que la France finirait comme la Pologne, par un vieux Juif qui promenait des petits chiens blancs frisés.

C’est ainsi, qu’à mon insu même, l’œuvre libératrice germait peu à peu dans mon cœur.