Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/68

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logue à l’amour de la propriété, la jeunesse d’une race pleine de ressources, de réserves, d’enthousiasmes, de dévouements disponibles, servaient jadis de contrepoids à l’influence de l’argent, neutralisaient ses ravages. Aujourd’hui, l’argent a facilement raison d’une nation atomisée, émiettée, réduite, selon l’expression de Rivarol, à n’être plus que de la charpie.

C’est une question d’âge. Un jeune homme, à la chasse où à la guerre, sera trempé jusqu’aux os pendant trois jours et n’en ressentira aucun mal ; un vieillard restera six mois sur le flanc ou mourra d’une pleurésie, parce qu’il aura reçu une ondée ou qu’il aura été mis dans un courant d’air.

C’est l’état de dissolution où se trouve la société française qui seul a permis aux Juifs de mener à bien l’œuvre abominable à laquelle ils travaillent depuis deux ans et qui leur permettra, si un réveil ne se produit pas, de faire de la France une nouvelle Pologne et de la livrer à l’étranger.