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Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/85

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la tribune que Turpin aurait été libre le lendemain.

Pourquoi, encore une fois, voudriez-vous, Cornély, que le Clemenceau que les malheurs de Turpin avaient laissé complètement indifférent, eût été pris tout d’un coup d’un attendrissement incoercible à propos d’un capitaine juif qui aurait envoyé au Conseil de guerre le petit soldat un peu éméché qui lui aurait dit flûte en musique ?

Ce sont là des fariboles et des calembredaines que les rhéteurs comme Jaurès peuvent essayer de faire avaler à des prolétaires insuffisamment instruits qui, pliant sous le rude labeur, n’ont pas le loisir nécessaire pour penser.

Les ouvriers intelligents ne croient pas un mot de ces ridicules histoires ; ils savent que c’est nous qui avons raison lorsque nous montrons à tous le fonctionnement de cet État dans l’État qu’est la Juiverie et les mille moyens qu’emploie la Ploutocratie juive pour faire prévaloir sa volonté.

Ils savent que c’est nous qui sommes dans le vrai en affirmant que si le Juif, grâce à l’or qu’il nous a volé, peut se payer les plus belles filles de Paris, il peut se payer aussi les hommes dont il a besoin pour exercer une influence plus ou moins réelle et plus ou moins durable sur l’Opinion.