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Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/87

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VII


L’AFFAIRE ET LES MOYENS
(SUITE ET FIN)


Cette question du Syndicat a le privilège de mettre Cornély de mauvaise humeur. Les autres reconnaissent d’assez bonne grâce que, s’il est vrai qu’on ne fasse pas d’omelette sans casser des œufs, il est encore plus vrai que, pour faire une omelette il faut avoir des œufs.

Il est bien clair qu’on ne remue pas tout un pays, qu’on ne détruit pas à moitié la puissance militaire d’une nation comme la France, qu’on n’organise pas de réunions, qu’on ne fonde pas de journaux, qu’on n’inonde pas le territoire de brochures et de caricatures, qu’on n’accumule pas les ruines morales et matérielles, qu’on ne désorganise pas un État-Major ; qu’on ne démolit pas 24 officiers et généraux, sans avoir le nerf de la guerre.

Pourquoi Cornély tient-il, à toute force à abuser de la candeur du dernier abonné non circoncis qui reste au Figaro, au point de lui faire croire que des Panamistes, des pornogra-