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Page:Du Bellay - L'Olive et quelques autres oeuvres poeticques, 1549.djvu/58

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tout l'Aethne, et Vesuve

   Ne rechauffroient pas.

Mon filz, c'est assez combatu, (Disoit la Mere au fort Gregeois,) Pourquoy ne te rejouys-tu Avecq' ces filles quelques fois?

   Les Vins, l'Amour consolent
   Le triste coeur de l'Homme:
   Les Ans legiers