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Page:Du Saussay - Perverse, 1896.djvu/211

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PERVERSE

peu de temps à perdre, et ils l’employèrent quand ils furent un peu remis de leur stupéfaction, le plus agréablement qu’ils purent. Et dans la chambre de Gaston, témoin déjà de belles batailles d’amour, retentirent encore, à plusieurs reprises, les magnifiques concerts qui naissent de l’harmonie des baisers et des râlantes ivresses.