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Page:Du Saussay - Perverse, 1896.djvu/227

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PERVERSE

quelques jours par le désir de vous voir, je n’ai pu résister au plaisir que j’aurais à prendre de vos nouvelles, et je me suis fait annoncer.

— Vous avez bien fait, je m’ennuyais, vous allez me tenir compagnie. Allons, asseyez-vous. Vous prendrez bien une tasse de thé avec moi ?

— J’aurais mauvaise grâce à vous refuser.