— Espèce d’insolent, crevé, voyou ! Viens, Azor, tu as assez pissé ! Insolent ! Et puis, quand on voit pas clair on met des lunettes, monsieur.
On commençait à faire cercle autour d’eux.
— C’est monsieur, disait la vieille, tandis qu’un Gavroche tirait la queue d’Azor, tandis qu’Azor beuglait, c’est monsieur qui insulte les femmes.
Azor faisait un boucan formidable.
— T’en as des vessies de cochon sur l’estomac ! disait un typo…
— Pourquoi qu’il m’a insultée, alors, continuait l’outragée ?
Azor gémissait à fendre l’âme.
— Si on te soufflait au pétard, t’aurais assez de baudruche pour faire un ballon, continuait aussi le typo.
— D’abord, vous, je ne vous parle pas, dit-elle à ce dernier, c’est à Monsieur que j’en ai. Il m’a insultée. Tais-toi, Azor.
Azor regarda sa maîtresse, mais un voyou ayant tiré sa pauvre queue avec plus de