Page:Dufay - L’Impôt Progressif en France,1905.djvu/507

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petit capital nécessaire à le mettre à l’abri du besoin et qu’il soit obligé de recourir à la charité à la fin de sa vie ?

La charité, l’aumône peuvent adoucir le sort du malheureux ; mais ce n’est que le droit positif de la propriété qui peut résoudre le problème. Les États où l’on a supprimé l’impôt à la base et où on l’a établi avec progression sur la richesse, sont plus près de la solution que nous ne le sommes en France avec nos projets de retraites ouvrières.