Page:Dujardin - Poésies, 1913.djvu/176

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Nos portes n’ont plus de poternes,
Les Robinsons nous semblent ternes,
Mais, ô ma belle aux yeux lascifs,
Nous avons des plaisirs modernes
Et pour la joie de nos dimanches oisifs
Nous savons des paysages plus suggestifs.

Viens ! c’est un grand jour ! la nature
Est en fête et la brise en romances murmure ;
Allons-nous-en vers Chantilly, vers le plein air ;
Les wagons nous emmèneront joyeuse allure ;
Et près de la forêt, sous le ciel clair,
Nous verrons ce que fera Schickler.