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III

Le foyer de l’Opéra.


Gabriel Lambert avait raison, ce nom seul me disait, sinon tout, du moins une partie de ce que je désirais savoir.

— C’est juste, Henri de Faverne ! m’écriai-je, Henri de Faverne, c’est cela ! Comment diable ne l’ai-je pas reconnu ?

Il est vrai que je n’avais vu celui qui portait ce nom que deux fois, mais c’était dans des circonstances où ses traits s’étaient profondément gravés dans ma mémoire.