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PAULINE.

le plancher ; puis elle me fit signe de la main de la laisser seule. J’obéis, et je retournai m’asseoir sur le pont, à la place qu’elle avait occupée, je posai ma tête où elle avait posé la sienne, et je demeurai ainsi jusqu’à notre arrivée au Havre.

Le lendemain soir nous abordions à Brighton ; six heures après nous étions à Londres.