Page:Dumas - La salle d'armes 1 Pauline, Dumont, 1838.djvu/288

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XIII


Lorsque je revins à moi j’étais dans le caveau : le comte, guidé par le cri que j’avais poussé et par le bruit de ma chute, m’avait sans doute trouvée dans le laboratoire, et, profitant de mon évanouissement, qui avait duré plusieurs heures, m’avait transportée dans cette tombe : il y avait près de moi, sur une pierre, une lampe, un verre, une lettre :