Page:Dumas - La salle d'armes 1 Pauline, Dumont, 1838.djvu/304

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XIV


La confidence que m’avait faite Pauline me rendait sa position plus sacrée encore. Je sentis dès lors toute l’étendue que devait acquérir ce dévouement dont mon amour pour elle me faisait un bonheur ; mais en même temps je compris quelle indélicatesse il y aurait de ma part à lui parler de cet amour autrement que par des soins plus empressés et