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TABLE

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Pages

LXXXVII. 

— La littérature impériale. — La Jeunesse de Henri IV. — Mercier et Alexandre Duval. — Les Templiers et leur auteur. — César Delrieu. — Perpignan. — Rupture de mademoiselle Georges avec le Théâtre-Français. — Sa fuite en Russie. — Le parterre de rois. — La tragédienne ambassadrice. 

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LXXXVIII. 

— La Comédie-Française à Dresde. — Rentrée de Georges au Théâtre-Français. — Les Deux Gendres. — Mahomet II. — Tippo-Saëb. — 1814. — Fontainebleau. — Entrée des alliés à Paris. — Les lis. — Retour de l’île d’Elbe. — Les violettes. — Les queues d’asperge. — Retour de Georges à Paris 

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LXXXIX. 

— L’inconvénient d’un grand artiste dans un théâtre. — Lafond prend le rôle de Pierre de Portugal, au refus de Talma. — Lafond. — Son école. — Ses mots. — Mademoiselle Duchesnois. — Ses défauts et ses qualités. — Pierre de Portugal réussit. 

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XC. 

— Le général Riégo. — Sa tentative d’insurrection. — Son évasion et sa fuite. — Il est livré par les frères Lara. — Son procès. — Son supplice. 

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XCI. 

— L’auberge de la Tête-Noire. — Auguste Ballet. — Castaing. — Son procès. — Son attitude à l’audience, et ses paroles aux jurés. — Son exécution. 

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XCII. 

— Casimir Delavigne. — Appréciation de l’homme et du poëte. — D’où était venue la haine de la vieille école littéraire contre la nouvelle. — Quelques réflexions sur Marino Faliero et les Enfants d’Édouard. — Pourquoi Casimir Delavigne était plutôt un poëte comique qu’un poëte tragique. — Où il faut chercher ses chefs-d’œuvre. 

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