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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/192

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

joues, et cela d’une rougeur égale, car le sentiment vivait dans cette tête, — et elle s’indignait d’avoir souffert une honte qui n’était point portée à l’arrêt.

Le peuple aussi vit cette rougeur, et il prit le parti de la morte contre le vivant, de la suppliciée contre le bourreau. Il demanda, séance tenante, vengeance de cette indignité, et, séance tenante, le misérable fut remis aux gendarmes et conduit en prison.

Attendez, dit M. Ledru, qui vit que le docteur voulait parler, attendez, ce n’est pas tout.