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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/222

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

d’une de mes parentes, et je vous la donnerai.

— Oui, pour qu’on guillotine votre parente si, par hasard, je suis arrêtée.

— Vous avez raison, je vous apporterai une carte au nom de Solange.

— À merveille ! vous verrez que Solange finira par être mon seul et véritable nom.

— Votre heure ?

— La même où nous nous sommes rencontrés aujourd’hui. Dix heures, si vous voulez.