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LES MILLE ET UN FANTÔMES.
Je m’approchai d’eux.
— C’est de bon augure, dis-je ; maintenant, voulez-vous que j’attende ou que je monte avec vous ?
— Non, ne vous compromettez pas davantage ; attendez ma fille ici.
Je m’inclinai.
— Encore une fois, merci et adieu, me dit-il, me tendant la main. La langue n’a point de mots pour traduire les sentiments que je vous ai voués. J’espère que Dieu un jour me mettra à même de vous exprimer toute ma reconnaissance.