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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/239

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Je lui répondis par un simple serrement de main.

Il entra ; Solange le suivit. Mais, elle aussi, avant d’entrer, me serra la main.

Au bout de dix minutes, la porte se rouvrit.

— Eh bien ? lui dis-je.

— Eh bien ! reprit-elle, votre ami est bien digne d’être votre ami, — c’est-à-dire qu’il a toutes les délicatesses. — Il comprend que je serai heureuse de rester avec mon père jusqu’au moment du départ. Sa sœur me fait dresser un lit dans sa chambre. Demain, à trois heures