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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/266

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Je rentrai chez moi désespéré. Je passai la journée à écrire à Solange ; le soir, je lui envoyai un volume.

Je venais de faire jeter ma lettre à la poste lorsque j’en reçus une d’elle.

Elle avait été fort grondée ; on lui avait fait une foule de questions, et on l’avait menacée de lui retirer sa première sortie.

Sa première sortie était le dimanche suivant ; mais Solange me jurait qu’en tout cas, dût-elle rompre avec la maîtresse de pension, elle me verrait ce jour-là.

Moi aussi, je le jurai ; il me semblait