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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/276

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

de mes cheveux, se répandait par tout mon corps.

Tout-à-coup, il me sembla qu’une voix douce et lamentable à la fois, qu’une voix qui partait de l’enceinte même de la petite chapelle, prononçait le nom d’Albert.

Oh ! pour le coup, je tressaillis. — Albert !… Une seule personne au monde me nommait ainsi.

Mes yeux égarés firent lentement le tour de la petite chapelle, dont, si étroite qu’elle fut, ma lumière ne suffisait pas pour éclairer les parois, et s’arrêtèrent